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Rhodia. Le recyclage de terres rares, c'est quoi ?

Leader mondial des formulations à base de terres rares, Rhodia vient de mettre au point un nouveau procédé de récupération et de séparation des terres rares contenues dans les lampes basse consommation usagées. Issue des programmes de recherche menés par Rhodia depuis de nombreuses années sur le cycle de vie de ses produits, cette filière originale de recyclage des poudres luminophores ouvre de nouvelles perspectives environnementales et économiques à l’échelle européenne.

Une fois collectées puis triées, les lampes usagées sont à ce jour traitées par des sociétés spécialisées qui en valorisent ensuite les différents composants (verre, métaux, plastiques, mercure). Les poudres luminophores, concentrées en terres rares, sont quant à elles mises en décharge. Grâce au nouveau procédé développé par Rhodia, elles pourront désormais être recyclées dans les usines du Groupe à Saint-Fons (69) puis à La Rochelle (17), cette dernière détenant un savoir-faire unique en Europe en matière de séparation des terres rares.

« Alors que la demande mondiale en terres rares connaît un essor supérieur à 6% par an, ce projet ouvre la voie à de nouvelles sources de terres rares directement adaptées aux besoins du marché. Cette filière devrait être opérationnelle dès le premier trimestre 2012 et permettre à terme la création d’environ 25 emplois directs au sein du Groupe » explique Frédéric Carencotte, Directeur Industriel de Rhodia Rare Earth Systems en charge des projets de recyclage. « Ce projet, qui vise par ailleurs à limiter l’utilisation de cette ressource, illustre l’engagement de Rhodia en faveur d’un développement toujours plus durable ».

Acteur clé du marché des terres rares, Rhodia développe de nombreuses innovations entrant dans des applications de la vie quotidienne (écrans plats, lampes à faible consommation d’énergie, dépollution automobile, optique de haute précision…)

Pilote-t-on sa réputation ?

La réputation est une fusée aussi rapide que les boutons « like » et « tweet » réunis.

Une fusée dont on ne peut piloter que la trajectoire.

Jamais la vitesse.

Voici les leviers directionnels les plus efficaces (source http://www.management-reputation.fr).

Produits et Service : qualité des produits, rapport qualité / prix, adéquation aux attentes

Innovation : capacité d’innovation, d’adaptation aux changements du marché

Emploi : rétribution juste et équitable  des salarié, bien être des collaborateurs

Gouvernance : ouverture et transparence de l’entreprise, éthique des affaires

Citoyenneté : responsabiltié sociale et environnementale, soutien de causes

Leadership : crédibilité et charisme des dirigeants, qualité du management, vision du futur

Performance : profitabilité, perspectives de croissance

e-reputation

Total. Investissements dans le solaire

Le géant pétrolier souhaite racheter les parts d’EDF Energies Nouvelles réparties dans leur filiale commune spécialisée dans l’énergie solaire photovoltaïque. Ils détiennent chacun 50% de Tenesol.

Lire la suite sur Le Figaro

L'Oréal mise sur la nature et la chimie verte pour ses nouveaux cosmétiques

L’Oréal fonde sa stratégie durable sur l’usage d’ingrédients issus de sources renouvelables et sur le développement de la chimie verte. De quoi verdir une image jusqu’ici peu associée à des méthodes naturelles.

Lire la suite sur CleanTechRepublic

PepsiCo prend soin de la santé de ses salariés

PepsiCo France propose à ses collaborateurs la possibilité de réaliser un check-up médical complet tous les 2 ans et, tous les ans pour les collaborateurs de plus de 45 ans.

Les résultats de ces check-ups, intégralement pris en charge par l’entreprise (coût, demi-journée pour réaliser les examens), sont confidentiels et transmis dans un délai de 7 jours au collaborateur.

Selon le DRH, Marc-Henri Bernard, « Prendre soin de ses collaborateurs, est une problématique de développement durable. Nous voulons assurer la bonne santé de nos collaborateurs dans la durée. Nous sommes dans une logique de prévention« .

Nature & Découvertes. Les réseaux verts.

Nature & Découvertes a crée les « réseaux verts ». Ce sont les salariés spécialement formés par l’enseigne pour relayer la politique développement durable, dans leur magasin et auprès des clients. Ces salariés sont garants du respect de la politique environnementale de l’entreprise et conduisent des réunions bimensuelles au sein de leur magasin.

Ce que je trouve bien dans ce système, c’est que le « chef de l’environnement » est le chef dans son domaine, et tout le monde semble le respecter. Il peut être amené à sérieusement recadrer le directeur du magasin si besoin. En matière de développement durable, la hiérarchie est différente.

Nature & Découverte est une entreprise familiale détenue à 80% par ses fondateurs (François et Françoise Lemarchand, mari et femme dans la vie), à 11% par les collaborateurs et 9% par la banque CIC.

L’entreprise communique sur le fait que l’environnement est eu coeur de la stratégie de l’entreprise.  Cette initiative montre que des actions suivent.

Autre fait, l’entreprise est la première du secteur de la distribution a avoir été certifiée en 2006 ISO 14001 (une norme de management environnemental).Cela lui impose d’améliorer chaque année ses indicateurs en matière de tri de déchets, santé et sécurité.

Enfin, Nature & Decouverte a une approche différente de la vente, elle est guidée par l’envie de  faire de la pédagogie auprès des clients. Cette approche peut susciter des vocations de « vendeurs ». Si vous faites partie de l’entreprise, votre avis nous intéresse !

Bouygues Immobilier. Quelle vision du développement durable ?

Salon de l'environnement et des métiers durables.

Les 17, 18 et 19 juin, au musée de l’Homme à Paris aura lieu la 2ème édition du salon de l’environnement et des métiers durables.

En gros, les métiers durables ce sont ceux qui ne misent pas leur développement sur le « tout pétrole ».

L’objectif de ce salon est de promouvoir les solutions technologies, les innovations et les conseils qui restaurent l’environnement.

Il vise tous ceux qui cherchent des réponses à leurs problématiques environnementales, par exemple :

–  réduire durablement la facture énergétique, traiter les déchets, construire propre, s’adapter à la réglementation environnementale

valoriser les actifs : installations photovoltaïques, valorisation des déchets…

– réduire l’empreinte écologique

– découvrir les nouveaux business models permettant une croissance pérenne : revendre l’électricité verte, consommer moins et produire mieux…

A noter que lors de ce salon, sera décerné le Prix de la jeune entreprise éco-innovante.

Alors si vous avez créé une entreprise autour d’une idée innovante dans le secteur des cleantechs (éco-innovations), et qu’elle a moins de 5 ans, inscrivez-vous ! Car à la clé, il y a une campagne de publicité d’une valeur de 50.000 euros.

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BNP Paribas. Vraiment interessée par le Développement Durable ?

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La BNP Paribas possède 189 filiales offshore.

Quand une entreprise (ou un particulier) a des filiales (ou un compte) offshore, ça veut dire qu’elle fait de l’optimisation fiscale.

En général, c’est même plutôt de l’évasion.

Dans les 2 cas, elle refuse de payer les impôts ou les taxes du pays dans lequel elle exerce son activité.

Or à quoi servent les impôts ?

Ils financent les missions de l’État -donc l’intérêt l’intérêt général– ainsi que le développement collectif et la pérennité de la société.

Quel rapport avec le Développement Durable ?

Et bien c’est simple. La définition du Développement Durable est est la suivante :

« …Les entreprises, les pouvoirs publics et la société civile devront travailler main dans la main afin de réconcilier trois mondes qui se sont longtemps ignorés : l’économie, l’écologie et le social. À long terme, il n’y aura pas de développement possible s’il n’est pas économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement tolérable. »

Je trouve particulièrement contradictoire le fait d’afficher et se targuer d’une politique de Développement Durable volontariste et refuser dans le même temps une grosse partie de sa responsabilité sociale.

C’est bien de faire des partenariats officiels avec les Nations Unies, réduire l’impact environnemental des supercalculateurs et sponsoriser les déplacement en Vélo à Taiwan…

Mais quand au sommet de la direction, la gouvernance crée le paradoxe, il devient difficile d’y croire.

Carrefour. Les cadres roulent au Vert.

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Chez Carrefour, 550 cadres de direction ont droit à une voiture de « direction ». Le choix du constructeur et du modèle est laissé libre. Mais il y a une condition : le taux d’émission e CO2 de la voiture ne doit pas dépasser 200g/km et qu’elle soit équipée d’un filtre à particule.

Les salariés qui souhaitent acheter une voiture hybride bénéficient d’un budget supplémentaire de 2 500 euros ou bien d’un congé solidaire.

Et ceux qui ne souhaitent pas de véhicule de fonction, reçoivent une alocation de 7 000 euros brut chaque année. Ou des avoir chez des loueurs de voiture.

Et cerise sur le gâteau, les bénéficiaires de voiture de direction peuvent aller faire un stage « éco-conduite » d’une journée.

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