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5 choses à faire lorsqu'on cherche un emploi

chercher

1. Linked In

Créez un profil LinkedIn parfaitement à jour, intégrant des mots clés liés à vos expériences et à vos compétences.

Avant votre entretien, la probabilité est forte que le recruteur le vérifie.

2. Facebook

Assurez-vous que votre profil public ne présente aucuns propos ou photos qui ne vont pas le sens de ce que vous voulez montrer de vous à un recruteur.

Avant votre entretien, la probabilité est forte que le recruteur tape votre nom dans Google donc tombe sur votre profil.

3. Twitter

Abonnez-vous au fil de personnes partageant vos intérêts professionnels. Cela vous permet de faire de la veille et de constituer un réseau. Créez votre propre fil Twitter et commencez à Twitter de l’information liée à votre expertise.

4. Blog

Créez votre blog. C’est gratuit et ça prend 10mn sur overblog. Il peut être lié à votre expertise ou à une passion.

Publiez des articles, réflexions, photos…

Cela montre que vous êtes dynamique, innovant, et c’est très valorisant. En période de chômage, c’est bien d’avoir un projet autre que la recherche pure ainsi que des sources de satisfaction. Chaque article publié est une source de satisfaction. Croyez-moi !

5. Vidéo

Répétez vos entretiens de recrutement devant votre iphone ou toute autre caméra. Regardez-vous et progressez !

et n’oubliez pas…

Avant votre entretien, renseignez-vous bien sur l’entreprise qui vous reçoit. Les métiers, l’ambiance, les salaires, l’avis des salariés…

Une seule adresse :  meilleures-entreprises.com

Sephora lance son site HR Facebook : The Unique Job Experience

Sephora reste à la pointe de la recherche d’interactivité avec les candidats.

Après le blog RH lancé en 2007 (rendez-vous compte, se lancer dans un blog d’entreprise, RH, permettant des participations externes, donc un risque sur l’image), c’est désormais un site RH Facebook que dévoile Sephora : The Unique Job Experience.

Bon, vous me direz, ce n’est déjà plus très extraordinaire d’aller sur Facebook.

Mais très peu ont décidé d’y intégrer leur site RH.

Non pas que l’investissement soit énorme (comptez entre 5 et 15K€ pour déployer tout ou partie de votre site existant sur Facebook).

2 aspects freinent les initiatives :

1/ Comment produire suffisamment de contenu?

Facebook est « temps réel ». Le passé ne compte pas. Des contenus périmés décrédibilisent immédiatement leur auteur. Pour une entreprise, être sur Facebook requiert un vrai changement d' »attitude » (Sephora va aimer ce mot :-)) à savoir une véritable capacité à produire et valider des contenus de façon rapide et pertinente. Ce n’est  pas dans la culture RH, habituée aux temps longs, aux processus de validation interminables et très précautionneux dès qu’il s’agit de communiquer.

Une culture bien compréhensible mais qui devient très risquée dans un écosystème connecté ou le premier qui parle laisse souvent plus de « trace ».

2/ Comment gérer l’interactivité ?

Facebook créé des dialogues avec des personnes étrangères à l’entreprise, et permet aux salariés de s’exprimer à l’extérieur de l’entreprise.

Gérer cela est aussi stratégique que complexe. Faut-il y aller ? A quel prix ?A quel risque ? Aujourd’hui, il y a trop peu de retours d’expériences. Tout le monde se regarde en chien de faïence, se demandant qui dégainera le premier.

Sephora y va. C’est une énorme preuve de confiance en ses salariés et en sa réputation.

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La génération Y : juste une manipulation ?

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La génération Y aurait-elle disparue ?

Depuis quelques années, on la décrit, on la psychanalyse, on la prédit révolutionnaire, avant de se reprendre et rassurer tout le monde en disant qu’en fait il ne sont pas si différents…

Bref, on en parle beaucoup et c’est un sujet assez sympa ! J’étais d’ailleurs excité d’écrire sur elle (ici ou ), me délectant de petits instants glorieux de prophétie !

Mais le temps passe. Que reste-t-il ?

Il semble finalement que la génération Y ne soit pas une classe d’âge

Jean Pralong, Professeur en gestion des ressources humaines à Rouen business School, propose -enfin- une étude sérieuse sur la question. Alors qu’on définissait la GenY comme la génération née après 1978, il prouve que les 20-45 ans ont des attentes et des représentations de l’entreprise et du travail similaires (voir l’article Focus RH).

Les consultants qui le constataient depuis un petit bout de temps dans leurs interventions en entreprise, avaient déjà remplacé l’idée de classe d’âge par l’idée de tendance.

Mais peut-on sérieusement soutenir le concept d’une génération intergénérationnelle ?

Il semble que la génération Y partage avec son ainée les mêmes aspirations dans le travail

Les constatations de nombreux DRH qui analysent les entretiens de fins d’années de leurs collaborateurs vont bien souvent dans le même sens : les aspirations (équilibre vie pro/perso, rémunération, carrière…) se retrouvent dans les mêmes proportions quelque soient les catégories et classes d’âge de salariés, voire dans des proportions inverses aux descriptions stéréotypées de la GenY.

Les entreprises qui pensaient attirer les jeunes avec la mise en place d’horaire flexibles, télétravail, salle de sports… constatent que ce sont les « vieux » qui se ruent en priorité sur ces dispositifs…

Les « vieux » voulaient plus progresser verticalement ? Ce sont en fait les petits jeunes qui demandent le plus rapidement des promotions.

Les entreprises proposent des projets sociaux, environnementaux, encore une fois, ce sont les « vieux » qui participent les plus. Pas les jeunes.

Il semble que la génération Y partage avec son ainée les mêmes désillusions vis à vis de l’entreprise

L’étude de Jean Pralong montre que tous « partagent l’intérêt de l’opportunisme, l’idée que l’entreprise ne fera pas leur carrière, et qu’ils doivent donc s’en charger, que les collègues sont des gens sympathiques, mais dont il faut se méfier…

Ils se distinguent également par des attentes assez fortes envers leurs managers, mais là encore, en se méfiant de cette relation de contrôle et de supervision. Et de manière sous-jacente, on s’aperçoit qu’ils sont aussi très inquiets par rapport au marché du travail et au chômage.

Même s’ils sont cadres et en CDI, ils ont conscience que l’emploi est une notion précaire ».

Il semble que la génération Y utilise davantage Facebook et Twitter que son ainée

Voici, en réalité, la seule différence.

Elle de taille, certes, mais elle n’impacte les entreprises que sur un point: l’immédiateté de l’information.

Oui, les jeunes ont l’habitude d’obtenir plus d’informations, plus rapidement. Il y a des changements à opérer dans les entreprises sur ce point.

Mais rien de bien révolutionnaire.

Il semble que la génération Y soit en réalité manipulée par son ainée

Dire simplement que certains consultants très intelligents ont inventé un concept pour se faire plaisir et gagner de l’argent serait trop facile.

Alors Jean Pralong va même plus loin lorsqu’il pointe du doigt une manipulation orchestrée la Génération X : « 

C’est la génération X qui a inventé la génération Y pour appeler au secours et demander de nouvelles règles du jeu en matière de comportement et de management. Les managers de la génération X ont en effet beaucoup de mal à faire passer les modes de performance et de comportement attendus par l’entreprise, car ils ne correspondent pas forcément à leurs propres valeurs. Quand ils s’étonnent que leurs collaborateurs de la génération Y veulent partir plus tôt, travailler depuis leur domicile, avoir un mode de communication plus interactif…, il est difficile de ne pas penser qu’ils prêchent pour leur propre paroisse, mais en se cachant derrière un paravent. Et pour eux, c’est tout bénéfice puisqu’ils seront gagnants des deux côtés. Si ces revendications aboutissent, de nouveaux espaces de liberté vont apparaître, et ils en profiteront eux aussi. Si elles sont retoquées, les nouvelles règles qui seront mises en œuvre pour rappeler à tous la règle du jeu leur permettront d’asseoir leur management ».

Licenciement FACEBOOK : un jugement au conseil de prud'hommes de Boulogne Billancourt

Des cas de licenciements liés à des propos tenus sur FACEBOOK sont intervenu plusieurs fois en 2010. J’en ai parlé à plusieurs reprises car je considère pour ma part qu’il s’agit de licenciements abusifs.

Un premier jugement vient d’intervenir au Conseil de prud’hommes de Boulogne Billancourt (92). Trois salariés de la société Alten, une société d’ingénierie qui emploie 11 300 collaborateurs dans le monde. En décembre 2008, lors d’échanges sur Facebook, l’un d’entre aux avait ironisé sur sa page personnelle, en disant faire partie d’un «club des néfastes». Deux autres employées avaient répondu : « Bienvenue au club ».

Un autre salarié avait alors transmis une copie de ces propos à la direction d’Alten… et le licenciement pour faute grave était intervenu.

Le Conseil de prud’hommes a jugé que ce licenciement était fondé et les salariés, qui contestaient ce licenciement ont été déboutés.

Pour motiver son jugement, le Conseil de prud’hommes semble-t-il fait valoir que : «La page mentionnant les propos incriminés constitue un moyen de preuve licite du caractère bien-fondé du licenciement».

En clair, cela signifierait que les propos tenus sur FACEBOOK entre amis ne relèveraient ni du secret des correspondances, ni du droit à la vie privée…

Pourtant, si l’employeur ne figure pas parmi les amis FACEBOOK, il ne peut avoir eu connaissance naturellement de cette correspondance privée : il a fallu qu’un ami FACEBOOK (ou ami d’ami) lui communique copie de la page. En définitive, d’après ce jugement de première instance, il semble que la faute grave soit constituée simplement par le fait que le compte FACEBOOK des salariées était ouvert aux amis d’amis, et non pas limité aux seuls amis. Du coup, le juge a considéré FACEBOOK comme public.

Autre facteur important : les salariées comptaient de nombreux amis FACEBOOK dans la société. D’où un écho interne à leurs propos.

La leçon à tirer est qu’il n’y aura que du cas par cas dans ce type de dossiers. Sur le principe, je considère ces licenciements comme abusifs. La Cour d’appel sera certainement amenée à rejuger ce dossier avec le recul et la vision juridique nécessaires.

Il est évident que les réseaux sociaux et internet présentent des dangers. La tentation est sans doute, pour un Conseil de prud’hommes, de juger ce type de dossier en se laissant porter par la pression médiatique et sociale de cette évidence. On y verra plus clair après un premier arrêt de Cour d’appel.

Retrouvez tous les conseils et pratiques en droit du travail sur le blog Avocatalk

Avocatalk

Peut-on laisser des commentaires anonymes sur les sites de notation ?

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Tout le monde en parle : le licenciement des 2 salariés d’Alten ayant dénigré leur entreprise sur Facebook a été confirmé par le conseil des Prud’Hommes.

Facebook étant un site de loisir donc a priori relevant de la sphère privée, on aurait pu croire que la discussion était « privée », ce qui aurait automatiquement rendu le licenciement nul.

Et bien non.

Car en fait, cette discussion a été considérée comme « publique » dans la mesure où les commentaires étaient accessibles par les « amis » d' »amis ».

C’est évidemment le danger de Facebook, et beaucoup d’entre nous doivent s’être mis à chercher dans leurs historiques pour voir ce qui pourrait trainer…

Sur meilleures-entreprises.fr,  je développe un questionnaire (EDV) permettant aux salariés d’évaluer leurs entreprises. Je me sens un peu concerné par le sujet.

Quand j’ai contacté la CNIL pour déclarer meilleures-entreprises.fr, on m’a expliqué que le fait de donner son opinion via un questionnaire structuré ne pouvait pas constituer un dénigrement ou une diffamation (c’est ce que font tous les instituts statistiques). En revanche, donner son opinion de façon libre est risqué car c’est l’impact des mots qui est considéré.

Ensuite, d’après la CNIL, en cas de procès pour diffamation notamment, la justice peut réclamer l’adresse email de l’émetteur au site hébergeant le commentaire. Afin de retrouver l’auteur du commentaire.

C’est pour éviter les risques de diffamation et donc protéger les membres, les entreprises citées, et meilleures-entreprises.fr, que j’ai choisi de ne pas laisser la possibilité aux membres de laisser des témoignages ou opinions (vous êtes nombreux à me demander pourquoi j’ai fait ce choix)

Si vous en laissez sur d’autres sites, sachez donc que ce que vous écrivez peut engager votre responsabilité, et que vous êtes retrouvables via votre adresse email.

Répondez donc aux questionnaires, mais méfiez-vous des opinions.

Recrutement et Réseaux Sociaux : "parlez-moi de vous !"

MOFreud12Dites « Facebook » à un recruteur et regardez naître sur son visage cette expression mêlant excitation et culpabilité.

Ce drôle de sourire de l’ado attardé qui ne sait pas quoi dire à la bombe sexuelle qui le mate pourtant depuis le début de la soirée.

Il veut y  aller mais il n’ose pas. Il ne sait pas ce qu’il peut dire et comment elle va réagir.

Alors il passe à côté.

C’est le drame de nos quinze ans.

C’est celui de nos RH.

Les réseaux sociaux nous claquent à la figure cet autisme qui est le nôtre. Ils sont l’outil de communication le plus puissant jamais inventé. Et aucune entreprise, malgré des moyens financiers et humains exorbitant, n’a encore trouvé la façon de les utiliser.

La raison est à aller chercher du côté de chez Freud.

Les entreprises ne savent pas parler d’elles. Elles ne savent pas dire qui elles sont.

A coup de millions d’euros, elles déversent invariablement des tonnes de messages aseptisés d’une banalité consternante oscillant finalement entre « nous cherchons les meilleurs » et « rejoignez des équipes dynamiques et créatives ».

Lisez la home page de n’importe quelle boite du CAC 40. Vous les avez toutes lues.

Les réseaux sociaux sont des pages vierges connectées. Si quelqu’un a quelque chose à raconter, et que ce quelque chose est intéressant, le réseau fait son travail et un maximum de gens sont au courant. Voilà.

La beauté des réseaux sociaux, c’est qu’ils mettent tout le monde tout nu. Les artifices graphiques des sites web classiques s’évaporent au profit de l’intérêt d’un contenu. Un contenu qui enrichit son lecteur. Ou qui n’existe pas.

Les entreprises doivent donc réussir à passer de la « toute puissance » -je dis ce que je veux et personne ne peut me contredire- à une « puissance partagée » -je progresse dans le dialogue.

Pour profiter des réseaux sociaux, elles doivent proposer de l’originalité, de l’expertise, de l’authenticité, du personnel.

Les réseaux sociaux sont des livres ouverts avant d’être des outils de connectivité.

Soit on les accepte comme tels, soit on perd son temps et son argent à croire qu’ils sont un canal publicitaire de plus.

Les américains n'ont pas confiance en Facebook et Twitter

Les Américains placent davantage leur confiance dans des marques technologiques comme Apple, Google et Microsoft que dans les réseaux sociaux Facebook ou Twitter,…

Lire la suite sur Le Journal du Net

Est ce que facebook peut remplacer un site de recrutement ?

C’est la question que pose « Social Recruiter », voilà l’article.

Pour résumer, il semble que Coca Cola ait prévu de faire ses prochaines campagnes marketing via facebook et youtube, plutôt qu’en passant par un site dédié.

Coca Cola va directement  là où le consommateur est, plutôt que de l’amener à visiter son site Coca Cola.

La question qui se pose naturellement est celle d’appliquer la même stratégie aux candidats.

Facebook draine des candidats qui peuvent être renvoyés sur le site Corporate de recrutement, mais il est également possible de faire une page facebook de recrutement via laquelle postuler, voir l’exemple  donné par Social Recruter ici.

Les avantages pour l’entreprise :

– être là où sont les candidats, plutôt que d’attendre qu’ils arrivent sur le site de recrutement

– il est facile d’étendre le groupe

– l’option est économique

Les avantages pour le candidat :

– il est plus rapide et facile de postuler

– les contenus vont à l’essentiel

– l’échange avec le réseau …

L’idée est à prendre.

Facebook. Quand les locaux reflètent la culture d'entreprise

L’entreprise Facebook favorise la communication entre ses salariés, les interactions et les connexions. Quoi de plus normal -me direz-vous- quand son business repose sur ces principes ?

Et cela commence par ce qui se voit, donc l’environnement de travail.

Au delà de leurs designs alléchants et des atmosphères conviviales et cool qui se dégagent, de tels locaux sont un premier rempart au stress. Parce qu’ils sont joyeux, parce qu’ils sont lumineux, mais surtout parce que ces espaces ouverts favorisent la rencontre, et donc la solidarité.

Et la solidarité réduit le stress.

On se plaint beaucoup d’un trop grand individualisme dans nos entreprises, de ce manque de solidarité.

Des locaux ne feront pas tout.

Mais ils symbolisent une culture et influencent des pratiques.

Ci dessous les photos de locaux de Palo Alto, US.

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Réseaux sociaux et recruteurs

Selon une étude menée par le site américain Carreerbuilder.com, neuf employeurs sur vingt, soit 45% des sondés, consultent les réseaux sociaux avant d’envisager le recrutement d’un candidat.

Le premier réflexe est d’utiliser les moteurs de recherche comme yahoo ou google pour 41% des recruteurs, suivi par facebook pour 29% des recruteurs et LinkedIn pour 26% d’entre eux.

Notons que l’outil »professionnel » LinkedIn n’est pas le premier à être consulté. Le but est donc bien de tomber sur des informations personnelles, absolument destinées au recrutement…

Dans la majorité des cas, ces informations consultées déservent le candidat. 35% des professionnels RH interrogés considèrent que l’utilisation de réseaux sociaux les a amené à éliminer des candidats. 18% d’entre eux ont décidé d’embaucher quelqu’un après avoir consulté son profil sur un réseau social.

Les raisons principales d’élimination sont les suivantes, le profil révélait :

– des informations et/ou photos provocantes ou inappropriées (53%)

– des informations liées à la consommation d’alcool ou drogues (44%)

– des informations négatives sur leur précédente entreprise ou des clients (35%)

– des qualités de communication médiocres (29%)

– des commentaires discriminants relatifs à la race, le genre, la religion… (26%)

En France, un mouvement mené par A Compétence Egale alerte les recruteurs sur les risques de recours aux réseaux sociaux pour rechercher des informations sur les candidats, une charte a été établie et signée par les 40 cabinet adhérents. Pour en savoir plus, voir cet article.

Source eMarketer

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