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Mois : mai 2009 Page 2 of 3

Thales a son "serious game", Moonshield.

Thales, vous connaissez tous, mais si je vous demande de m’expliquer en quoi consiste leur activité, ça se complique…

Si on va sur le site internet, on a peur en lisant « leader mondial des systèmes d’informations critiques » mais on y trouve une explication assez claire, à condition de prenne le temps de comprendre.

Mais Thales n’a pas le temps que l’on prenne notre temps, l’entreprise recrute massivement, notamment pour pallier aux départs à la retraite. L’entreprise recrute environ 7000 personnes en 2009 et recrutera plus de 10 000 personnes par an à partir de 2010/2012.

Pour séduire les ingénieurs (mais pas seulement), Thales s’est lancé dans le serious game « Moonshield ».

Le jeu de stratégie et de gestion transporte en 2040. La planète Mars vient d’exploser et la Terre est menacée par une pluie d’astéroïdes. A vous de la sauver, en utilisant notamment les lasers développés pas Thales. Personnellement, je trouve ça effrayant, mais je ne pense pas être dans la cible.

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Inoplast. Prêt de salariés

En Ardèche, l’équipementier automobile Inoplast prête ses salariés à l’usine de constructeur de bus Irisbus-Ivéco. Les salariés sont formés pendant 3 semaines seulement, sacré flexibilité ! Cela évite à l’entreprise « préteuse », Inoplast, de mettre ses salariés prêtés au chômage. De son côté Irisbus-Ivéco peut faire face à la commande de 100 autocars pour la RATP.

L’entreprise CPL Bois avait également opté pour le prêt de salarié en « solution de dépannage », voir l’article du figaro.

Les syndicats, en général, sont encore sous le coup de la surprise, ils ne savent pas quoi trop en penser. Certains critiquent cette initiative, parce que les salariés « prêtés » prennent la place de chômeurs et d’intérimaires qui recherchent un emploi.

Mais le prêt de salariés traduit la volonté des entreprises de ne pas licencier. Les entreprises essaient de trouver des idées originales pour ne pas licencier. C’est courageux. Imaginez comme ce doit être complexe à mettre en œuvre : trouver une entreprise « complémentaire » au niveau des compétences et proche géographiquement,  accord entre les entreprises, négociation avec les syndicats, formation, gestion des plannings individuels, communication interne…

Il y a donc une volonté féroce de préserver l’emploi.  Et j’y vois un optimiste certain, la reprise n’est pas loin, gardons nos salariés pas loin de nous.

Et, rappelons surtout que la production industrielle s’effondre. En 2008 la baisse est de 10%, et s’annonce pire en 2009.

Le dispositif de prêt de salarié est légal, le député UMP, Jean-Frédéric Poisson a d’ailleurs déposé une proposition de loi pour faciliter le prêt de salariés entre les entreprises, voir l’article du figaro.

Alors, dans ce contexte, j’attends les meilleures idées, à ce moment là ceux qui critiquent auront une raison à le faire.

Salaire des patrons de TPE et PME.

Le salaire net d’un patron de PME est 3 fois supérieur à celui d’un ouvrier, selon un communiqué de la CGPME.

L’INSEE indique que le salaire net moyen net d’un ouvrier est de 17 064 euros, soit 1422 euros mensuels.

Toujours selon L’INSEE, le salaire annuel moyen d’un dirigeant atteint 52 700 euros (soit 4400 euros mensuels), mais le profil de l’entreprise est déterminant. L’INSEE note des variations importantes en fonction de la taille de l’entreprise. Le patron d’une TPE touchera 36 200 euros, contre 70 200 euros pour le patron d’une PME. Le salaire moyen d’un dirigeant d’une société de plus de 250 salariés est de 188 700 euros.

Selon Jean François Roubaud, président de la CGPME,  il conviendrait d’éviter tout amalgame entre la rémunération des patrons de PME et qu’il qualifie d’« avouable et raisonnable » et « les excès de certains dirigeants de grands groupes« .

Sur les rémunérations excessives des patrons de grands groupes, voir le tableau récapitulatif de l’Expansion.

Il est bon de rappeler que les 10 patrons les mieux payés (en dizaine de millions d’euros) dont on parle beaucoup -eu égard à leur rémunération indécente – ne sont absolument pas représentatifs de ce qu’est le « patron français ».

Les dirigeants de grands groupes sont évidemment très loin de la réalité quotidienne des PME, certains patrons de PME ne se paient plus depuis quelques mois…

Bref, ce sont 2 mondes différents, il ne faut pas l’oublier.

"The office" version française.

Si vous appréciez « the Office », la série américaine très décalée sur la vie de bureau, je vous propose de porter un peu d’attention à la version française. Parfois hilarante, surtout très française. Pas mal du tout quand le fromage français s’introduit au travail. On ne peut reproduire ce type de nuisance odorante dans aucun pays au monde je pense…

[youtube HKoLrdHwZtc]

Hertz demande à ses cadres de baisser leurs salaires.

Les cadres de chez Hertz ont reçu une lettre leur demandant de bien vouloir baisser le salaire, de 5 à 7 %, selon leur niveau hiérarchique.

Selon libération, voila comment est rédigée la lettre, il est demandé de faire « un effort de solidarité par tous les managers, afin de préserver au maximum les emplois (…) en attendant une reprise ». Plus loin, « cet effort se traduit par une réduction en pourcentage et en fonction du statut, sur le salaire brut de base mensuel, pour une période de trois mois (…) et sur base du volontariat ». Il est précisé « date de retour pour le 30 mars 2009 dernier délai, si pas de réponse de votre part, nous considérons que vous avez accepté ». Mieux vaut éviter de faire trainer le courrier, ça peut coûter cher…

Bernard Duigou , le Directeur des Ressources Humaines de Hertz, refuse de dire de combien son salaire a été amputé.

Pourtant il me parait impossible de faire l’impasse sur cette information, c’est ce qui rend crédible la démarche.

Quel est l’effort du comité de direction ? Entrent ils dans la logique mise en place ? c’est à dire, plus le statut est élevé, plus le pourcentage de réduction de salaire est important.

Ces informations sont primordiales pour que les cadres fassent leur choix, parce qu’ils ont un choix à faire.

Sinon, comment oser parler de solidarité ? Qu’en est il de l’exemplarité ?

On sait, d’autre part, que Mark Frissora, le PDG mondial du groupe a donné l’exemple en réduisant son salaire de 25% (et ses vices présidents de 20%). Au États Unis les baisse de salaire ont pu se faire facilement auprès des collaborateurs, puisque l’accord express du salarié n’est pas nécessaire. En France, la réduction de salaire nécessite un accord écrit du salarié.

Le CV « frenchie » et le CV « british », qu’est ce qui change ?

Ayant occupé des postes de Consultante en Suisse puis en Angleterre pour le même cabinet de recrutement -Adecco-, j’ai eu l’occasion de voir défiler de nombreux CV et ai pu constaté des différences notoires entre nos deux cultures. Même si, comme en France, il n’existe pas de « CV type », l’Angleterre connait elle aussi ses tendances !

Les premières différences concernent la photo, la taille du CV et les données personnelles.

Alors que la photo est d’usage en France, sur le CV anglais elle n’apparait jamais. Ce n’est pas dans les coutumes, voire risible !

Le CV anglais est souvent plus long que le CV français, il n’est pas rare de le trouver sur 3 ou 4 pages. Si l’anglais aime la rigueur et la précision, il aime aussi et surtout le détail !

Enfin, sur le CV anglais vous pouvez indiquer votre nom complet, adresse, date de naissance, nationalité et statut marital. Un débat avait été lance en France il y a quelques années par Jean-Pierre Raffarin qui préconisait le CV anonyme, le recruteur anglais lui veut connaitre votre âge et ce n’est pas discriminatoire.

Si le français a tendance à intégrer la partie  « Education – Qualification » en tête de CV, l’anglais lui débutera son CV par une catégorie « Summary » ou « Skills » suivie d’une catégorie « Objectives ». Le « Summary » dressera en quelques lignes votre expérience, ce que vous avez appris, fait, qui vous êtes. Les « Objectives » permettront d’expliquer à l’employeur ce qui vous cherchez, le type d’environnement. Il n’est pas rare non plus  de trouver dans cette catégorie le type de poste exact que vous recherchez.

L’anglais gardera la section « Education » pour la fin, en tout cas après la section « Expérience » Une différence majeure entre les deux cultures, le recruteur anglais accordera toujours plus d’importance au parcours professionnel, alors que le français accorde toujours beaucoup d’importance au parcours académique. En revanche, l’anglais est friand de détails comme vos notes, vos mentions et autres réussites ! Il n’est pas rare de voir figurer sur un CV anglais toutes les notes obtenues au  » GCSE » (équivalent de notre Brevet des Collèges) !

Comme sur son voisin le CV français, la section « Experience » sera la plus détaillée Outre-manche. En commençant par l’expérience la plus récente, la raison sociale de l’entreprise, son adresse, les dates exactes de l’emploi, la fonction exercée, la nature des taches et des responsabilités et la raison du départ. Il n’est pas rare de voir un cahier des charges complet du poste occupé.

La catégorie  » Others » ou  » Interests » est capitale sur le CV anglo saxon et très détaillée. L’anglais accorde une part très importante aux voyages, au sport, à la musique et associations. La plupart des bacheliers anglais s’octroient d’ailleurs une « gap year » avant de commencer leur vie professionnelle, pour voyager autour du monde. L’employeur anglais aime avoir un aperçu de la personnalité du candidat par ce biais. Sur le CV français, on note souvent que cette catégorie est brouillonne  et sert de catégorie « poubelle » ou l’on retrouvera autant d’information sur vos hobbies, sport, mais aussi permis de conduire, compétences informatiques ou autres !

Pour terminer son CV, une dernière spécificité « anglo saxonne » est la section  » Referee ». Il s’agit en général de deux contacts, celui d’un professeur et d’un ancien manager susceptibles de recommander le candidat. Elle permet au futur employeur de vérifier l’exactitude des données. Enfin, il est important de noter que l’anglais est rigoureux, il vérifiera  les sources et l’exactitude des données, dates, poste occupe et même salaire.

Enfin  contrairement au français, l’anglais ne rajoute que très rarement une rubrique « Languages », et oui la plupart du temps il ne parle que l’anglais !

Europ Assistance. Faut-il y postuler ?

Ce week-end, je suis tombé sur la nouvelle campagne de recrutement d’Europ Assistance.

Censée être drôle, amuser les « jeun’s » et leur montrer les comportements à éviter, elle mets en scène 8 candidats caricaturaux lors d’un très court entretien de recrutement (15-20s).

Ça pourrait être marrant, voire instructif, mais ces caricatures présentent des personnages issus d’un milieu social ou métier particulier (le gros beauf, le trader), des maladroits voulant « trop » bien faire (le super héro, le polyglotte), ou pire, présentant un handicap (le psychopathe, l’angoissé, l’incompréhensible).

Chacun d’entre eux est littéralement humilié et finalement éliminé par tampon qui s’abat sur lui : « candidat refusé ».

Au delà de l’aspect discriminant de cette campagne, j’ai été touché par l‘image renvoyée par les recruteurs, qui ne posent aucune question permettant de mettre à l’aise le candidat, visiblement toujours stressé, mais qui au contraire se moquent et émettent un jugement définitif en une poignée de secondes.

Je ne peux pas croire que cette campagne reflète l’état d’esprit des Ressources Humaines d’Europe Assistance et je préfère le mettre sur le compte d’un égarement démagogique.

Mais comment ne pas imaginer les nouvelles conversation de machines à café entre recruteurs et managers : « t’as vu ce psychopathe ? Il me regardait comme le mec de la vidéo ! ». « Et l’autre Trader, il croit quoi? Il a pas compris qu’on embauche pas ces irresponsables qui ont coulé le système ? ».

Ça ne donne pas trop envie d’aller se jeter dans cette fosse aux lions…

Franchement, pour une bourde, cette campagne en est une belle. Et on a beau savoir -ou espérer- que c’est du second degré, la diversité en prend un coup.

Heureusement que la Halde ne l’a pas vue.

PS : La campagne s ‘appelle « Ne Postulez Pas« .

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OPTEAMAN reconcilie entreprise et sport.

philippe cirier

Opteaman est particulièrement attentif à la mobilisation du sport par l’entreprise. L’étude menée avec l’ANDRH et le Master Management des Événements et des Loisirs Sportifs révèle que l’entreprise n’exploite pas efficacement les ressources du sport, notamment en interne.

Précisions avec Philippe Cirier, PDG d’Opteaman.

A quand remontent les liens entre le sport et l’entreprise ?

Au début du XXème siècle, le sport était plus appréhendé comme un élément de discipline et de performance, avec l’image paternaliste des grands patrons envers leurs salariés. Puis, en 1945, le sport a été relayé par les comités d’entreprise. Les salariés se sont pris en main. L’entreprise a remis la main sur le sport dans les années 80, mais plus comme un outil de communication, des RH et du management opérationnel. Avec le sport, on va crée l’émotion positive, une implication, libérer une partie des freins qu’on peut avoir. Cette enquête est un moyen d’accélérer le processus de prise de conscience à ce niveau là.

Pourquoi dans les domaines que les entreprises mobilisent dans leur politique de communication et de ressources humaines, le sport n’arrive-t-il qu’en 4ème position derrière le social, l’environnement et la santé ?

PC: D’une manière générale,  en France on n’est pas culturellement habitués à faire des liens entre des domaines qui ne se ressemblent pas au départ. Faire un lien entre entreprise et sport n’est pas évident à mettre en œuvre, peut donner un côté « en dehors du business ». Et la France est un pays de culture catholique et sociale fortement présente.

L’étude montre que les premières actions mobilisées par les entreprises concernent les valeurs du sport

PC: Oui, elles constituent le premier axe sur lequel les entreprises travaillent. Il y a cependant toujours un écart entre les valeurs affichées et les valeurs pratiquées. C’est normal dans le sens où elles sont très subjectives. Quand on accompagne des entreprises dans ce domaine, ce qu’elles mettent en place en premier, c’est la formulation de valeurs communes. Les entreprises viennent au sport pour ces valeurs, qui parlent très facilement.

Les entreprises organisent de nombreux événements sportifs internes…

PC: Il y a une quinzaine d’années, les sports extrêmes se pratiquaient beaucoup, comme le saut à l’élastique ou en parachute. Mais cela ne voulait pas dire que le salarié qui avait  le courage de sauter en parachute était également courageux au sein de son entreprise ou dans son travail. Les entreprises y ont vu des limites. On est plus aujourd’hui dans l’intégration de l’ensemble de ses collaborateurs autour de pratiques sportives accessibles qui créent du lien. Le sens de l’événement interne par rapport au sport, c’est avant tout rendre les gens acteurs.

Les entreprises viennent chercher des valeurs dans le sport mais se révélent finalement insatisfaites, pourquoi ?

L’insatisfaction est énorme parce qu’il y a un écart entre le niveau d’attente et le niveau réel. Les entreprises idéalisent le sport. Le sport a été un élément de motivation pour les entreprise mais avec une utilisation assez restreinte, plutôt artificielle, car surtout tournée vers le sponsoring et l’image. On est entré dans une phase de désillusion où l’entreprise ne sait pas encore très bien comment utiliser le sport de façon optimale. On va bientôt rentrer dans une phase de meilleure adaptation entre motivation et compétence, en intégrant le sport de façon plus efficace, plus locale, en aidant les salariés à pratiquer leur sport le weekend end par exemple.

Quels sont les sports privilégiés ?

PC: Le running et le vélo, parce que ce sont des sports universels. Et puis il y a bien évidemment le football mais aussi de plus en plus le rugby.

Les valeurs que les DRH souhaitent développer dans l’entreprise sont l’esprit d’équipe, le lien social et le goût de l’effort. Pourtant si l’on relève leur insatisfaction dans ce domaine, cela signifie-t-il que ces valeurs ne sont pas transmissible dus sport à l’entreprise ?

PC: Oui, parce que l’appel au sport n’est pas assez récurrent. Il faut mettre des pratiques dans toutes les strates de la vie de l’entreprise. Le sport n’est là que pour illustrer quelque chose de plus fort. Cela se construit en profondeur. Le sport n’est pas la finalité d’une entreprise, ce n’est qu’un moyen. Il vaut mieux étaler les budgets sur plusieurs actions, développer le niveau local, créer du sens et donner l’envie aux acteurs de parler en faisant du buzz.

Source Sport et Stratégie n° 179.

67 000 ruptures conventionnelles depuis juillet. Faut-il s'en réjouir ?

La rupture conventionnelle, on en avait déjà parlé en l’accueillant comme une bonne nouvelle.

On poursuit notre suivi régulier.

En mars les ruptures conventionnelles représentaient un quart des entrées au Pôle Emploi.

10% des ruptures de CDI se font maintenant à l’amiable. C’est un succès. Les deux parties peuvent enfin se séparer légalement et rapidement. Enfin, on met fin à beaucoup d’hypocrisie. On sait bien que les départs souhaités par les deux parties se retrouvaient qualifiés de licenciement, pour ouvrir droit à l’assurance chômage et donc « frauder » auprès des ASSEDICS.

La procédure dure un mois. Elle est légère, il suffit de remplir un formulaire téléchargeable sur le site du ministère du travail, une fois cette convention cosignée, on laisse passer un délai de 15 jours, pendant lequel l’une ou l’autre des parties a la possibilité de se rétracter. Puis le document est envoyé à la direction départementale du travail, qui a 15 jours pour l’homologuer. A ce jour, 15% des conventions ont été invalidées par l’inspection du travail, surtout pour non respect de la procédure.

J’aurais tendance à me réjouir de cette procédure légère et efficace. Mais, il semblerait qu’il y ait quelques abus de la part des employeurs, selon Yves Nicol, avocat,  » rupture conventionnelle : à supprimer d’urgence » . L’hypocrisie aurait elle retrouver une place ? cette fois en masquant les licenciements en accords à l’amiable.

Comment trouver la bonne solution alors ? ça me désespère…

Restons pratique et regardons ici, Yves Nicol liste de façon très claire les avantages et inconvénients du dispositif pour les employeurs et les salariés, avec son oeuil de praticien.

A ce jour, peu de rupture à l’amiable ont été contesté devant les prudhommes, mais le risque existe bien. Les entreprises qui abusent de ce dispositif courent le risque de requalification de la rupture en plan social. Comme ce groupe de région parisienne qui avait signé une quarantaine de ruptures mais avait étalé ses demandes d’homologation sur deux mois.

Comment lire sa fiche de paie ?

Un bulletin de paie est décortiqué par le figaro.fr, vous comprendrez mieux ce qui ce cache derrière toutes ces lignes. I n’y a guère qu’en France qu’on ose donner au salarié un document si compliqué.

Pour comprendre les prélévements sociaux (employeur et salarié). Pour savoir quel est le poids des prélèvements sociaux dans votre salaire complet, allez voir sur www.salairecomplet.com.

Les prélèvements sociaux liées au travail d’une personne représentent à peu près le montant de son salaire net. N’est ce pas un peu excessif ?

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