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Améliorons la Relation au Travail, pour chacun et pour toutes les organisations !

Comment transformer sa stratégie RH et RSE en atout pour les Réseaux Sociaux ?

Les réseaux sociaux sont une opportunité pour les entreprises de mettre en avant leur politique RH. Cette dernière peut devenir un véritable atout pour la communication de marque. Le constat est sans appel : si vous ne prenez pas la parole sur les médias sociaux, d’autres la prendront pour vous. Alors comment mettre en place une stratégie qui porte vos valeurs et l’expérience de vos collaborateurs ?

Trouver sa propre voix : Il existe une règle très connue sur les avis sur internet ! Un client mécontent postera plus facilement un avis qu’un client ravi. C’est la même chose pour vos collaborateurs. Dès lors, faire contrepoids est indispensable. Demandez l’avis de vos salariés ! Dans tous les cas vous serez gagnant. Vous aurez une idée nette des améliorations à faire et vous aurez des éléments de langage et des arguments pour construire votre marque employeur et la diffuser efficacement.

Mettre l’expérience collaborateur au centre : Mais comment faire en sorte que vos collaborateurs aient envie de parler positivement de votre entreprise ? Favorisez l’expérience collaborateur. Elle est fondée sur le principe de la symétrie des attentions. Développée par le chef d’entreprise indien Vineet Nayar, c’est la conviction managériale que la qualité de la relation entre l’entreprise et ses clients doit être de la même importance que celle entre l’entreprise et ses collaborateurs. 

Le meilleur moyen reste de demander aux premiers concernés. ChooseMyCompany vous propose des enquêtes complètes sur différentes dimensions pour mesurer la réalité vécue par vos salariés. Engagement, environnement de travail… Les dimensions sont travaillées de façon à vous offrir un aperçu complet et pertinent sur le ressenti de vos salariés. 

L’Employee Advocacy comme vecteur de valeurs fortes : l’Employee Advocacy permet de gagner en crédibilité en laissant vos équipes prendre la parole à votre sujet. Par exemple, vous pouvez diffuser des commentaires positifs laissés par vos salariés.

Le back-office de ChooseMyCompany vous permet maintenant de partager directement ce type d’informations sur vos réseaux sociaux grâce à notre outil DataTelling-ESG. 

Face au social et au purpose washing, mieux intégrer les parties prenantes à l’évaluation RSE

Purpose-Washing, social washing… Ces termes sont de plus en plus connus ! C’est grâce au fait que la RSE a de plus en plus d’importance dans l’évaluation et la réputation des entreprises. Ce sont des termes dérivés du green washing, qui désigne un décalage entre un marketing vantant l’écologie d’un produit et la réalité. Purpose et social washing sont liés au social :

  • Le purpose washing, plus récent, pointe un décalage entre les valeurs et causes sociales revendiquées par une organisation et la réalité du vécu au sein de l’entreprise. Par exemple, les accusations ont été très nombreuses pendant le mouvement black lives matter, où des marques comme Nike ont montré leur soutien au mouvement. Mais les utilisateurs ont pointé en retour le manque de diversité des COMEX. 
  • Le social washing désigne les pratiques des entreprises qui affirment la qualité de vie excellente de leurs collaborateurs dans leur communication, alors que l’expérience des salariés est toute autre.

Dans les deux cas, il y a une contradiction entre le discours tenu et ce qui se passe en interne.

La prise de conscience de cette contradiction a lieu au niveau des parties prenantes, qui sont aux premières loges. Une situation qui parfois les transforme en de véritables lanceuses d’alerte. Pourtant, le décalage entre pratiques et valeurs affichées est souvent invisible dans les rapports et les notations ESG, ce qui pose la question de la façon dont ils sont faits (Le cas d’Orpea pose la question par exemple). Pourquoi les avis des parties prenantes ne sont pas plus intégrés dans la démarche d’évaluation RSE d’une entreprise ? Qui mieux que les collaborateurs peuvent mesurer leur qualité de vie professionnelle ?

Le manque de prise en compte de la parole des parties prenantes explique notamment la prise de position via des moyens de communication alternatifs, comme les réseaux sociaux, les médias ou les manifestations. Ré-intégrer cette parole en prenant en compte l’évaluation des parties prenantes devient donc un enjeu pour les entreprises, que ce soit pour leur réputation, leur attractivité comme leur rétention.

ChooseMyCompany propose des enquêtes pour remettre d’individu au coeur de votre stratégie ! Découvrez le Programme de Réputation ImpactESG® pour connaître l’avis de vos collaborateurs sur vos mesures RSE.

Freelances, slasheurs… Quand le travail change de forme

Quel est le point commun entre les freelances et les slasheurs ? Ces deux expériences de travail impliquent une forme d’indépendance. Un freelance n’ayant pas de contrat, il travaille pour plusieurs employeurs sur des missions et projets spécifiques. Phénomène plus récent, le slasheur effectue plusieurs professions et activités rémunérées à la fois. Une tendance qui confirme la volonté des travailleurs de gagner en flexibilité dans leur emploi du temps et de multiplier les expériences.

Ce sont des choix qui sont faits notamment par les profils cadres. Pour ces derniers, le CDI n’est plus le graal. C’est aussi le cas des plus jeunes générations : 1 jeune de la génération Z sur 2 estime que le CDI a vocation à disparaître au profit du CDD et du travail en freelance selon une étude de Mazars

Mais les profils concernés sont également plus expérimentés, contrairement aux croyances. En effet, les freelances avec quelques années pros au compteur peuvent se reposer sur leur réseau ainsi que leurs compétences. La moyenne d’âge s’établit à 45 ans. Pour de nombreux professionnels des RH, c’est une période où les travailleurs cherchent à trouver un emploi aligné avec leurs valeurs, quitte à renoncer au salariat traditionnel. Doit-on en conclure qu’il y a une convergence vers le travail indépendant quel que soit le type de profil ?

Dans tous les cas, le freelancing et le slashing sont les marqueurs du besoin des travailleurs d’effectuer des missions variées et de gagner en indépendance. Aides à la reconversions, formations, fonctionnement en mode projet… mais aussi meilleure intégration des freelances ! Les entreprises sont challengées par ce type de profil pour gagner en flexibilité et mieux s’adapter aux besoins de ces profils.

La semaine de 4 jours, symbole d’un autre rapport au travail ?

Le rythme de travail actuel est-il vraiment adapté aussi bien à la santé qu’aux aspirations des salariés ?

La remise en question du temps de travail existait déjà depuis quelques années : Les confinements ont poussé de nombreux travailleurs à revoir la place du travail dans leur vie. L’intérêt pour la semaine de 4 jours confirme une aversion pour le présentéisme, et de troquer temps de travail contre plus de sens et une meilleure qualité de vie.

Une tendance confirmée par les scientifiques. Des spécialistes de la santé ont remis un rapport autour de l’activité physique des français. Plus de 90% des français n’en ont pas assez ! Les auteurs de cette étude mettent en avant que l’organisation du travail telle qu’elle est aujourd’hui ne permet pas aux individus de pratiquer des activités physiques suffisantes pour maintenir une bonne santé physique. Depuis, les débats autour de la durée du temps de travail font de nouveau surface.

Parmi les réponses proposées par les entreprises et les pays pour créer un nouvel équilibre pro et perso, la semaine de 4 jours fait parler d’elle. Les modalités de la mesure varient beaucoup.

Dernier pays en date à la proposer, la Belgique. Les salariés pourront travailler seulement 4 jours mais auront des journées de travail plus longues (9h30), avec l’accord de la direction. D’autres pays, comme l’Espagne, ont choisi de mettre en place une semaine de 4 jours avec une durée de travail hebdomadaire à 32 heures par semaine contre 40 heures précédemment. En France, ce sont des initiatives à l’échelle des entreprises, LDLC ou Welcome to the Jungle, qui sont pionnières. 

Qu’en-est-il des résultats ?

Les premières conclusions autour de ce nouveau rythme sont très optimistes.

Une meilleure de qualité de vie et hausse de la productivité : L’Islande, qui a testé le dispositif sur 2 500 salariés du secteur public entre 2019 et 2021, a constaté un effet positif sur la qualité de vie des collaborateurs sans baisse de productivité. A un tel point que que 85% des travailleurs Islandais ont la possibilité de passer à ce rythme de travail.

C’est le cas aussi de Microsoft Japan, qui a par exemple observé une hausse de 40% de productivité suite à la mise en place du dispositif.

Une meilleure attractivité des entreprises : Pour les entreprises ayant choisi cette organisation, elles ont vu monter en flèche leur attractivité auprès des travailleurs. Leboeuf-Fillon, une PME de plomberie, est passée de 13 à une quarantaine d’employés et continue de recruter via le le bouche à oreille.

Une ré-organisation challengeante mais plus efficiente : pour Welcome To The Jungle, le passage à la semaine de 4 jours a été plébiscitée après la période de test ! Elle a impliqué une ré-organisation vers plus d’efficacité, la généralisation d’outils communs, un changement de gestion des équipes… Mais les salariés ont voté pour la continuité de la mesure.

La question de la semaine de 4 jours s’inscrit donc dans une réflexion plus globale autour du rythme professionnel et de l’innovation managériale. Bien reçue par les employés et avec des bénéfices pour toutes les parties prenantes, elle pourrait devenir une norme pour des salariés en quête de temps et des entreprises en mal d’attractivité. D’après l’enquête EngagementIndex®* 2021, 70% des répondants pensent que les modes de travail de leur entreprise sont innovants (flexibilité, travail à distance…). Un chiffre qui vient confirmer la généralisation des mutations de l’organisation du travail, prouvant l’importance de l’audace dans les modalités de travail pour satisfaire les salariés.

*Questionnaire EngagementIndex® 2021 ChooseMyCompany pour 33083 répondants, Réponses récoltées du 01/10/20 au 30/09/2021, via le site ChooseMyCompany.com

Grande Démission : un problème de sens, vraiment ?

La Grande Démission fait des vagues de l’autre côté de l’Atlantique ! Au total, plus de 38 millions d’Américains ont quitté leur travail en 2021. Un phénomène qui fascine autant qu’il inquiète. En France, on craint son arrivée et on l’associe souvent à un manque de sens. Mais est-ce vraiment le cas ? 

Dans un premier temps, de quoi parle-t-on quand on parle de sens ? Au travail, il découle de la notion de “bullshit job” de David Graeber, ou les jobs à la con. L’expression désigne des professions inutiles, qui ne remplissent pas de but particulier pour la société, et pulluleraient dans les entreprises modernes. Pourtant, près de 78% des répondants à l’enquête HappyIndex®AtWork estiment trouver du sens dans leur fonction*.

On imagine ainsi souvent que la Grande Démission touche des cadres qui souhaitent changer de vie pour se lancer dans la menuiserie. Eh non ! Les emplois les plus touchés sont précaires. Il s’agit principalement des secteurs de la restauration, de l’hôtellerie… Des professions aux horaires longs, avec peu de reconnaissance et à la rémunération peu conséquente. Les confinements successifs ont donné l’opportunité à ces travailleurs l’opportunité de repenser leur rapport au travail. Ainsi, ce n’est pas tant le sens du labeur en lui-même qui provoque une vague de départs, qu’un questionnement autour de la place du travail dans sa vie. La nature de la relation avec son employeur est également remise en cause.

Il ne faut également pas oublier que le marché du travail américain est extrêmement différent du nôtre. Une législation plus flexible rend les démissions et changements de job plus simples. La France est au contraire plus protectrice dans ce droit du travail. La grande démission est donc un phénomène très corrélé à la situation des Etats-Unis, mais aussi lié plus aux conditions de travail qu’à la seule question du sens.

*Questionnaire EngagementIndex® 2021 ChooseMyCompany pour 3475 répondants, Réponses récoltées du 01/10/20 au 30/09/2021, via le site ChooseMyCompany.com

Télétravail et travail hybride, quelles bonnes pratiques pour pérenniser sa culture d’entreprise ?

Télétravail et travail hybride, quelles bonnes pratiques pour pérenniser sa culture d'entreprise ?

Les règles sanitaires s’assouplissent ! Malgré le retour au présentiel, certains de vos collègues ont sûrement déménagé loin des locaux.

D’après une enquête du site Cadremploi, 82% des cadres ont déclaré vouloir quitter Paris…

La nouvelle culture d’entreprise sera hybride ou ne sera pas.

Ce n’est pas un problème pour les salariés, le questionnaire HybridWorkIndex® 2021* montre que 70,7% des répondants estiment être bien organisés en mode hybride.

  • Vers un nouveau pacte collaboratif : le travail à distance implique confiance et flexibilité. Pour éviter les frustrations, permettre aux salariés de choisir leur organisation et leurs jours de présence/distance est une bonne pratique.
  • Créer une charte de communication : l’un des écueils du travail hybride est le manque de visibilité de la charge de travail des salariés. Hiérarchiser les moyens de communication permet d’éviter le sentiment d’urgence constante.  
  • Inventer de nouveaux rituels : l’un des éléments les plus motivants pour les salariés de tous les âges est la relation avec leurs collègues. Points réguliers, séminaires… Il est essentiel de maintenir un lien pour éviter le manque d’engagement.

L’organisation hybride pousse les entreprises à innover leurs pratiques vers plus de flexibilité et de productivité.

*Source : Questionnaire HybridWorkIndex® 2021 ChooseMyCompany pour 3475 répondants. Réponses récoltées du 01/10/20 au 30/09/2021, via le site ChooseMyCompany.com

La formation en entreprise, l’EdTech à la rescousse

L’EdTech est la contraction d’éducation et de technologie ! Elle désigne les acteurs, startups comme grandes entreprises, qui cherchent à révolutionner l’éducation et la formation grâce aux nouvelles technologies. Avec la crise du covid et l’individualisation des parcours de formation, le secteur est un allié pour répondre aux besoins des salariés et des entreprises. 

Surtout lorsque la qualité du programme de formation est un levier de motivation important pour les collaborateurs. Ils sont ainsi 75,6% à avoir l’impression qu’ils apprennent et développent de nouvelles compétences d’après l’enquête de l’EngagementIndex®* de 2021.

Le distanciel a été un des premiers facteurs de la diversification de l’offre de formation. En effet, les confinements et les déménagements de certains salariés ont contraint les entreprises à changer de stratégie. Mettre en place de sessions en présentiel s’est révélé trop complexe. Le développement d’un apprentissage en e-learning s’est donc accéléré. Des start-ups comme Simundia se sont lancées sur le marché. Cette pépite française propose du coaching en ligne dédié aux soft skills. Mais tout comme le bureau, le futur de la formation s’annonce comme hybride. Il est ainsi de plus en plus courant d’alterner entre sessions de formation présentielles et distancielles.

Autre tendance qui s’adapte aux besoins des utilisateurs : le Mobile Learning ! Face à des utilisateurs de plus en plus nomades, des acteurs comme Teach on Mars proposent des formations courtes et accessibles depuis un smartphone ou une tablette.

La réalité augmentée et la réalité virtuelle offrent de nombreuses possibilités pour la formation. Artefacto, par exemple, est spécialisé dans la RV et la RA dans le cadre de développement de compétences professionnelles. Les applications sont multiples. Des entreprises comme Walmart les utilisent pour développer des scénarios de relation client. Thales forme certains employés à réparer des armoires électriques directement sur des bateaux. Dans les deux cas, les points forts de la technologie est de proposer des expériences immersives et qui répondent à de nombreux besoins.

L’EdTech offre de nombreuses possibilités aux entreprises pour renouveler l’expérience des salariés en matière de formation. Aujourd’hui on s’adapte aux usages et aux comportements pour plus personnalisation !

*Questionnaire EngagementIndex® 2021 ChooseMyCompany pour 33083 répondants, Réponses récoltées du 01/10/20 au 30/09/2021, via le site ChooseMyCompany.com

Décalages entre formation et besoins des entreprises, comment les réduire ?

Décalage entre formation et besoin des entreprises

Le marché de l’emploi est particulièrement dynamique en France ! Le taux de chômage est tombé en dessous de 7%. Mais certaines entreprises ont du mal à recruter des profils très demandés. Comment maintenir la bonne direction ?

A plus long terme, on manquera de travailleurs dans le secteur du numérique. Avec la transformation digitale, les employeurs ont des besoins spécifiques. L’éducation supérieure ne parvient pas forcément à les combler. C’est notamment le cas pour les profils cadres. D’après la dernière enquête de l’APEC, les entreprises ont besoin de compétences de plus en plus précises pour leurs managers pour accompagner leur transformation. Quelles solutions est-il possible de mettre en place ?

Favoriser les échanges entre entreprises et écoles : La FBF, Syntec et France Assureurs préconisent de créer des ponts entre les deux univers. Les entreprises auront ainsi plus d’opportunités de partager leurs besoins. En réponse, les écoles et les universités pourront faire évoluer leurs diplômes. 

Renforcer le système d’apprentissage en alternance et les stages : L’apprentissage et les stages plongent les étudiants directement dans la réalité de l’entreprise. Ce sont de formidables expériences pour monter en compétences, tester et progresser. D’après l’enquête TraineesIndex® de 2021*, 87,6% des stagiaires et alternants estiment développer de nouvelles compétences.

Promouvoir la diversité dans les filières scientifiques et d’ingénierie : 28 % des étudiants en école d’ingénieurs sont des étudiantes. Sur le million d’ingénieurs que compte la France, seuls 23 % sont des femmes (d’après le livre blanc “Promouvoir l’emploi qualifié”). En comblant le déséquilibre, plus de main d’œuvre serait disponible sur un secteur en tension.

Systématiser la formation : Le monde de l’emploi s’accélère ! Les entreprises ne devraient-elles pas prendre part à l’employabilité de leurs salariés ? C’est le cas avec des projets de formation et d’aide à la reconversion professionnelle vers des emplois plus porteurs. Ce type de projet permet de satisfaire la semaine des salariés au niveau de leur progression de carrière. Il répond également aux besoins des secteurs connaissant des pénuries de main d’oeuvre au sein-même de l’organisation.

Les différentes solutions proposées ouvrent des pistes fascinantes sur comment transformer l’apprentissage. Mieux, elles montrent le grand dynamisme de l’emploi en France.

*Questionnaire TraineesIndex® 2021 ChooseMyCompany pour 34520 répondants, Réponses récoltées du 01/10/20 au 30/09/2021, via le site ChooseMyCompany.com

L’après covid-19, vers une meilleure prise en charge de la santé mentale

Souvenez-vous ! Dans le monde d’avant, on se demandait si le burn-out était une maladie professionnelle ou non. Les risques psycho-sociaux étaient une question épineuse pour les départements RH. Pourtant, les initiatives se multiplient depuis les confinements pour les prévenir.

La pandémie du covid-19 a permis de briser le tabou lié à la santé mentale. En effet, d’après l’étude d’AXA réalisée par Ipsos, 25% des français pensent que les maladies mentales sont mieux acceptées et moins stigmatisées depuis le début de la pandémie.

La parole s’est d’autant plus libérée que de nombreux changements ont lieu au niveau professionnel. Le télétravail a changé le quotidien des français pouvant le pratiquer. Le distanciel a bouleversé la façon dont nous travaillons et gérons nos emplois du temps. Dans ce contexte, de nombreuses entreprises ont mis en place des programmes de santé mentale, confirmant le changement de paradigme autour de la santé mentale.

Le groupe pharmaceutique Baxter fait partie de ces entreprises. Elle a mis en place une ligne d’écoute et une plate-forme permettant aux salariés d’auto-évaluer leur état mental, mais aussi de proposer du contenu préventif comme des fiches conseils, des conférences… 

La santé mentale devient un sujet à prendre en compte dans les entreprises. Et les résultats sont prometteurs : 75,1% des répondants à l’enquête EngagementIndex® 2021* sont satisfait(e)s de la manière dont s’articulent leurs vies professionnelle et personnelle.

*Questionnaire EngagementIndex® 2021 ChooseMyCompany pour 33083 répondants, Réponses récoltées du 01/10/20 au 30/09/2021, via le site ChooseMyCompany.com

Quand la RSE et la performance extra-financière dynamisent l’emploi

Quand la RSE et la performance financières dynamisent l'emploi

Cette dynamique a lieu de deux façons ! Les entreprises qui ont une activité liée à la RSE recrutent plus que jamais. Pour les organisations aux missions traditionnelles, de nouveaux métiers apparaissent. 

Des tendances qui s’expliquent pour différentes raisons :

  • Les salariés aspirent à plus de sens
  • Les critères de performance extra-financiers sont de plus en plus valorisés
  • Les obligations légales RSE se multiplient

De plus en plus de collaborateurs se sentent concernés par des problématiques liées au réchauffement climatique ou aux inégalités sociales. D’après la campagne HappyIndex®Candidates 2021*, 57,4% des répondants ont indiqué avoir postulé à un emploi en raison des valeurs RSE portées par l’entreprise concernée. Une tendance très présente chez les jeunes diplômés BAC+5 : 62 % jugent indispensable d’avoir un emploi qui a un impact positif sur la société (cf SoManyWays). 

Pour les organisations dont la RSE n’est pas au cœur de leur activité, les métiers qui montent sont souvent liés à la donnée. Il est aujourd’hui essentiel de mesurer l’efficacité des stratégies RSE. Les entreprises recherchent de plus en plus des chargés de reporting extra-financier, conseillers en neutralité carbone, de chefs de projet en taxonomie verte ou analystes Data ESG. L’objectif : s’aligner sur la directive européenne Corporate Sustainability Reporting Directive (CSRD), qui renforce l’importance de l’ESG et des critères de performance extra-financiers dans le pilotage des organisations.

Mais les entreprises ayant au centre de leur activité des missions RSE sont également très dynamiques. Hydrao, entreprise grenobloise proposant des solutions connectées pour la préservation de l’eau potable, proposent de nombreux postes. De même pour Murfy, entreprise proposant d’augmenter la durée de vie de vos appareils en les réparant.

Nouveaux métiers, nouvelles entreprises… La RSE n’en finit pas de croître !

*Questionnaire HappyIndex®Candidates 2021 ChooseMyCompany pour 13093 répondants, Réponses récoltées du 01/10/20 au 30/09/2021, via le site ChooseMyCompany.com

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